Décollage immédiat

Aleyna arriva devant la porte des étoiles. Il était tôt, la salle se remplissait de plus en plus. Elle déposa ses deux valises par terre ainsi que son sac à dos à côté de diverses caisses déjà présentes. Elle les regarda un instant, passa en revu dans sa tête tout ce qu'elle avait emmené, puis quand elle se dit que rien n'avait été oublié, elle s'éloigna d'un air satisfait. Elle observa tout en souriant les personnes derrière la vitre, qui s'affairaient autour des commandes de la porte et de pleins d'autres boutons dont la jeune femme ignorait l'utilité. D'un pas tranquille, elle monta les escaliers et s'approcha d'eux. La militaire était impatiente.

"Tout est prêt ?"

Les techniciens acquiescèrent. Le John Lorion venait d'envoyer la confirmation qu'ils se tenaient en orbite au dessus de la cité, il ne manquait plus que de monter à bord. Quand Atlantis leur en donnera l'ordre, les personnes à bord du vaisseau enclencheront la téléportation. Ce sera alors le début de l'aventure.

Aleyna demanda l'activation de l'intercom puis pris la parole.

"Ici le centre de contrôle. AR-1 est attendue devant la porte de étoiles. Je répète, AR-1 est attendue devant la porte des étoiles. Terminé."

Voilà qui était fait. L'équipe ne tarderait pas arriver, ainsi Aleyna s'assit sur un fauteuil libre pour attendre. La militaire entendit un bruit étrange dans les couloirs, elle tourna la tête et vit le Caporal Dunaïm en train de jouer de la cornemuse. Comme tout le monde, elle regarda le militaire faire sa traversée jusqu'à la porte, mais à l'inverse des autres son expression relevait de la colère. Elle tourna la tête vers les personnes présentes, qui reprirent étrangement tous ce qu'ils étaient censé faire. La jeune femme descendit en trombe le grand escalier de la salle de contrôle en appelant de loin le militaire, avec un ton de reproche. Heureusement, Archibald n'était pas encore là.

"Caporal !"

Elle s'approcha de lui, et quand elle fut à sa hauteur elle le dévisagea sans retenue. Que ne comprenait-il pas dans le mot "respect" ?

"Qu'est ce que vous faites ?! Ce n'est pas un concert ici, si vous avez envie de jouer de la musique je serai ravie de vous envoyer sur Terre pour le faire ! Il est complètement exclu que vous emmeniez ceci sur le vaisseau, personne n'a envie de passer ses journées à entendre de la cornemuse. On est ici pour travailler, pas pour se divertir. Si vous osez une fois de plus manquer de respect au personnel, je peux vous assurer que vous aurez tout le temps que vous voulez pour jouer de ce que vous voulez. Me suis-je bien faite comprendre ?"

Elle regarda sa réaction puis reprit la parole.

"Pourquoi êtes vous déjà en treillis de mission ? Je vous rappelle qu'on n'arrivera que dans onze jours, j'espère que vous ne garderez pas cet uniforme pendant tout ce temps."

Le Caporal avait mis Aleyna de mauvaise humeur, elle qui était si contente de partir. Les autres avaient intérêt à arriver au plus vite avant que le militaire irrespectueux ne regrette d'avoir mis les pieds sur la cité.

Kaylee avait fini par renoncer à se rendormir au bout d'une heure. Elle avait refait l'inventaire complet de son sac puis était partie courir une demi-heure dans les couloirs encore déserts de la Cité. À son retour, elle avait pris une douche avant d'aller à l'infirmerie où elle avait là aussi refait le tour de tour les fournitures à emmener ainsi que des sacs de secours pour le terrain. Elle avait une dernière fois vérifier que toute sa paperasse était bien à jour.

Elle avait ensuite pris la direction du réfectoire. Là, elle s'était servie un bon petit-déjeuner qu'elle était allée prendre sur l'une des terrasses tranquilles où certains membres du personnel avaient installés des tables et des chaises. Elle avait en effet voulu profiter d'un dernier lever de soleil et d'un autre bol d'air frais avant de se retrouver enfermer pendant trois semaines dans le Lorion. Un coin de son esprit se doutait que cette nuit ne serait qu'un avant-goût des suivantes qui seraient probablement tout aussi courtes et agitées. Elle soupira en entendant l'appel radio et finit sa tasse de café.

*Quand il faut y aller, faut y aller.*

Elle se leva et ramena son tableau au réfectoire avant de prendre le chemin de la salle de la porte. Elle secoua la tête de dépit et grimaça en entendant la cornemuse du caporal Dunaïm qui arrivait. Celui-ci n'en ratait pas une pour se faire remarquer. Elle vit que le personnel de l'infirmerie avait bien fait transporter toutes les caisses et ces affaires, comme elle l'avait demandé un peu plus tôt. Elle salua Larry de la main et récupéra ses sacs. Le caporal Keith était en train de passer un savon à Mortimer. Le problème, c'est que celui-ci semblait totalement hermétique à toutes réprimandes, au grand dam de ses supérieurs. Elle décida d'attendre sagement un peu plus loin que les choses se calment avant d'aller la voir.

Notre homme, arrive à la porte des étoiles au moment ou l'intercom bat le rappel AR-1 par la voix de son chef! Il regarde l'heure, il y a encore un moment avant l'ouverture. Son Chef est là et ses yeux semble le foudroyer. Mais pourquoi ce regard ? Le Sergent l'appelle. Et là le Caporale tombe de haut, son chef ne veux pas qu'il emmène sa cornemuse sous prétexte que jouer de cet instruments est un manque de respect au personnel de la cité d'Atlantis. Ben oui, il tombe de haut, car pour lui Mortimer, c'est exactement l'inverse, pourquoi la musique serait un manque de respect? Elle lui demande même de le laisser ici. Il voit Takata taka le canonnier son ami à son poste devant le gigantesque anneau. Le Japonais pourra prendre soin du biniou! Mais son chef s'en prend maintenant à sa tenue, pourtant dans le rapport de mission, il y a bien marqué, tenue du désert, il n'a fait qu'exécuter les ordres écrits. Tous ses changes sont couleur sable, y comprit ses slips kangourous! Mais bon c'est pas le moment de contrarier le chef car le Chef il a toujours raison, surtout que cela lui vas bien au teint, ses petite joues rouge, ses yeux de feux. Il va être content son amoureux. Du coin de l’œil il aperçoit le gentille petit Docteur, qui n'ose pas s'approcher. Faire tout un drame de cette histoire d'uniforme alors qu'il y en a plein dans le John Lorion. Notre homme va confier son précieux instrument à son camarad, puis vient se mettre à coté de son chef. Il ne manque plus que le Docteur Delamare. Mais il l'ouverture n'est pas encore pour toute suite.......

/ Bureau du chef de la cité / - / Armurerie principale /

Archibald venait de sortir de son bureau. Il s'était ensuite dirigé vers l'aile nord-ouest et plus précisément vers l'armurerie principale de la cité d'Atlantis. Il entra dans la salle et prit un sac à dos. Il y glissa une tenue camouflage désert, un gilet tactique SG et une casquette. Il prit ensuite quelques accessoires, une radio, une oreillette, une gourde, quelques rations de survie, une paire de lunettes de soleil.

Pour le désert il avait ce qu'il voulait, maintenant il réfléchissait sur le matériel scientifique à emmener sur cette mission.

Il prit un bloc-notes et des stylos ainsi qu'une tablette de diagnostique. Il prit un compteur geiger et une caisse à outils pour compléter.

Puis il décida de passer à l'armement et prit un Zat'nik'Tel et un P-90.

"Bon je crois que ce sera tout."

Il salua le soldat de garde de l'armurerie et prit le chemin de ses quartiers pour se reposer un peu.

/ Quartiers d'Archibald / - / Centre des opérations /

Il prit le téléporteur et arriva finalement devant la porte des étoiles où se trouvait le reste de l'équipe.

Le Caporal ne semblait pas se rendre compte que son comportement était irrespectueux envers ses supérieurs, ainsi qu'envers tout le monde par ailleurs. Il ne contredit cependant pas Aleyna puis confia son instrument à une des personnes présentes. Voilà qui était fait ! La jeune femme vit que Kaylee était arrivée, puis Archibald ne tarda pas non plus. Tout le monde était présent.

"Vous êtes prêts ? Vous n'avez rien oublié ?"

Elle attendit les confirmations de l'équipe puis se tourna vers le personnel se trouvant au niveau des commandes de la cité. Elle hocha la tête avec un grand sourire et un technicien hocha la tête à son tour. Il prévînt le John Lorion que l'équipe était prête à être téléportée. Il fit ensuite signe à Aleyna que le vaisseau avait bien reçu leur message. La jeune femme se tourna vers son équipe.

"Tenez vous prêts, on va être ..."

Elle n'eu même pas le temps de finir sa phrase que AR-1 avec les bagages disparurent dans une lumière bleutée.

/ Centre des opérations / - / Passerelle du John Lorion /

Larry se tenait à l'endroit des commandes de la porte des étoiles, attendant un signal du John Lorion. Cela faisait plus de deux semaines qu'il était parti, il devrait déjà avoir envoyé un message disant que tout allait bien et que l'équipage serait bientôt de retour. Mais aucun signal n'avait été capté. Le personnel présent essayait de contacter eux-même le vaisseau mais il semblait encore beaucoup trop loin pour que le contact puisse se faire. Ils avaient certainement pris du retard sur la planète, ou quelque chose de plus grave s'était produit.

"Toujours rien ?"

Non, toujours rien. Il ne restait plus qu'à attendre.

"AR-1 va avoir du retard. Je vais aller prévenir ceux qui avaient besoin d'eux."

Larry partit donc prévenir Jeremy que le médecin principal de la cité sera absent plus longtemps, donc qu'il devra en tant qu’infirmier en chef prendre sa place quelques jours de plus.
Il alla ensuite voir Adam, lui disant que la chef de la sécurité ne pourra pas assuré son boulot pour le moment, et donc qu'il faudra qu'il fasse de son mieux tout seul.
Il ajouta aux concernés qu'il les préviendrait dès qu'ils recevraient un signal du John Lorion, et qu'en attendant ils pouvaient passer au centre des opérations si ils voulaient connaître l'avancée des techniciens à essayer d'envoyer un message.

Jeremy soupira une fois Larry sorti de son bureau. Il se demandait toujours pourquoi c'était lui qui avait été nommé médecin-chef remplaçant. Certes, il avait suivi le même cursus de médecine jusqu'à son internat comme n'importe quel autre médecin, mais il était avant tout un laborantin. Il ne travaillait que rarement avec les patients. Son travail consistait surtout à analyser leur sang et plus spécifiquement leur ADN à la recherche d'anomalies afin de pouvoir éventuellement mettre un nom sur leur pathologie. Tout le reste était ensuite du ressort du médecin traitant. Du coup, il s'occupait de toute la partie administrative et avait délégué tout ce qui relevait des soins à l'assistant du Dr Beckett qui était autrement plus qualifié que lui pour cela.

Après avoir fini le séquençage ADN de deux espèces extraterrestres que lui avait été demandé par un biologiste afin de les comparer, il prit le chemin de la salle de contrôle pour avoir des nouvelles du John Lorion. Il avisa Larry et se dirigea vers lui pour lui poser une question :

« Si nous n'avons pas de nouvelles dans les prochains jours, que fait-on ? Il n'y avait pas de porte sur la planète où ils allaient, n'est-ce pas ? »

Quand Larry prévint West de son nouveau rôle, il comprit de suite ce qui se passait, il y avait un problème avec AR-1. Aleyna était leader de cet équipe, Archibald leader de la cité et Kaylee Becket médecin en chef de la cité avait pris part à cette mystérieuse mission.

Adam voulait un plus de renseignement concernant tout cela, Larry lui devait bien ça, ne serait ce qu'au nom de leur amitié. En arrivant dans le bureau du chef par intérim, il découvrit que Jeremy Doyle était aussi inquiet que lui, le sergent avait entendu la question du nouveau médecin chef, tout en saluant son coéquipier:

"Salut doc, Larry qu'est ce que veut dire tout ça, le John Lorion n'as pas donné de nouvelles? Il n'est toujours pas à porté? Ou come vient de souligner Doyle, y a pas de porte à proximité"

Adam ne cachait nullement son impatience et son inquiétude, même si Archi et Kaylee avait leur place dans cette sensation, c'est bien pour Aleyna que le militaire avait peur. West attendait ue réponse de Larry.

Comme il s'en était douté, Jeremy et Adam virent pour poser des questions. Le problème, c'est qu'il n'avait pas beaucoup de réponses à donner.

"Si on a pas de nouvelles, on pourra difficilement les retrouver. Ils sont partis loin, ils peuvent être n'importe où. Mais on fera tout pour les trouver. Non effectivement il n'y a pas de porte des étoiles. Et non, nous n'avons pas de nouvelles du Lorion, ils sont trop loin pour des transmissions. Mais ne nous inquiétons pas trop vite, ils ont peut être allongé leur séjour pour étudier sur place un dispositif ancien."

Larry essayait de rester calme mais il se faisait du soucis pour l'équipage du vaisseau. S'agissait-il vraiment d'un simple retard ?

Adam ne semblait pas plus rassurait par ce que venait de dire Larry, bien au contraire. Pas de porte aux étoiles dans les parages, aucun moyen des les contacter car hors de porter, a moins que:

" La terre n'a pas un vaisseaux disponible comme le Lorion, si oui on pourrait partir à leur rencontre ou même réussir à les contacter si ils sont à notre portée, ou même en jumper. Larry ils sont initialement partit pour trois semaines, il devrait déjà être sur le retour, il se peut qu'ils est besoin de notre aide"

West n'est pas du genre à ne pas suivre les ordres, mais là il ferait tout sont possible pour savoir ce qu'il se passe réellement avec les membres de Lorion. Le sergent ne tenait pas en place, le manque d'action et le confinement sur la cité se faisait ressentir. Ainsi qu'une certaine tension lié a l'équipage du vaisseau et du fait qu'il n'y avait aucune nouvelle.

Jeremy salua le sergent West d'un signe de la tête et écouta son échange avec Larry. Il était d'ailleurs d'accord avec celui-ci. Cette absence de contact et le retard du Lorion est certes inquiétante, mais à relativiser.

« Comme le dit Larry, il est tout simplement possible que l'étude de l'arme prenne plus longtemps que prévu. Malgré tout, ce serait une bonne chose d'en avoir le coeur net. »

Il rebondit sur les propos d'Adam et s'adressa à Larry :

« En parlant de jumper... Quelle est la planète avec une porte la plus proche de celle où ils se rendaient ? Une sortie pourrait être envisagée si elle nous permet d'être à portée de communication, comme le suggère le sergent. Nous pourrions alors les contacter et leur demander de quoi il retourne exactement. Et s'ils ont des problèmes, nous pourrons chercher un moyen de les aider. »

Il ne savait pas si cela serait faisable, mais cela valait le coup de se pencher sur la question. Cela vaudrait en tout cas toujours mieux que de rester les bras croisés à s'imaginer toutes les catastrophes qui auraient pu frapper le Lorion et son équipage.

Larry écouta les demandes de deux membres d'AR-2.

"L'Achilles n'est pas disponible, et nous ne pouvons pas envoyer un autre vaisseau au bout de la galaxie alors que nous ne savons pas ce qu'il s'y passe."

Il tourna la tête vers les personnes en face des machines de commande de la cité.

"Où se trouve la porte la plus proche de P6X-304 ?"

Il vit un de ses collègues manipuler la base de données. Il répondit finalement : "Trop loin pour un contact."

Larry fut déçu, il avait pensé pendant quelques secondes qu'il serait possible de prendre contact avec le Lorion.

"C'est plutôt logique, si l'arme est si puissante que ça il est normal qu'elle soit difficilement accessible, les anciens étaient malins."

Donc qu'allait il faire attendre. Adam mit ses mains derrière sa tête et poussa un soupir d'agacement. Puis prenant appuie sur la arrière le sergent fixa un moment la porte aux étoile de la cité. Puis il se tournât vers ses interlocuteur est dit:

" Puis je voir le dernier endroit d'où Lorion a émit? La distance par rapport la plus proche de P3X-304. Il n'y pas de porte orbital plus loin?"
" Non sergent"

Répondit le technicien, West se frotta le menton est dit:

" Avec un jumper, je pourrais couvrir la distance entre la porte et le dernier point d'émission du Lorion en deux jours. Voilà mon plan, avec des ration de survie et quelques hommes, je rejoint se point, je lance un appel au John Lorio, on entend environs 2 heures, si il sont à porté il répondre, dans le contraire on rentre illico"

est dévisageait le médecin est Larry avant de reprende:

" Sans vous manquez de respect Doyle, mais il il y à notre médecin chef, notre chef de la sécurité et chef de Ar-1, Ar-1 justement et le leader dela cité, ils sont tous d'une grande importance... Larry si tu accepte pas en tant que chef, accepte cette tentative en tant qu'amis s'il te plait."

West fit une proposition à Larry, qui soupira. Bien sûr que tout le monde sur le Lorion est important, mais au même titre que les autres, que West et l'équipe qu'il aimerait emmener avec lui vers un endroit où tout pouvait se produire.

"Non je n'enverrais aucune équipe à l'autre bout du monde tant qu'on aura pas plus d'informations ou qu'on aura pas établi un plan plus concret. Si vous allez jusque là bah, nous n'aurons plus de contact avec vous, et nous ne savons pas ce qui peut arriver."

Il se tourna vers Jeremy puis vers Adam.

"Je vous conseille de retourner faire votre travail, ça ne doit pas être facile avec vos nouvelles responsabilités. Je vous contacterais au moindre signe, à la moindre information supplémentaire."

Jimmy écouta le rapport du technicien leur disant que son idée n'était pas réalisable. Il soupira. Il ne savait pas quoi suggérer d'autre. Il ne comprit pas pourquoi Adam s'excusait. Il n'avait jamais dit, ni même laissé entendre, qu'il ne souhaitait pas qu'une équipe de secours soit envoyée pour retrouver l'équipe disparue. Il trouvait juste que cela était peut-être un peu prématuré vu la mission du Lorion, entre autres choses.

Larry posa une fin de non-recevoir à la suggestion de West. Jimmy était d'ailleurs d'accord avec lui sur ce point.

« Comme vous l'avez fait remarqué, c'est toute l'équipe dirigeante qui manque pour l'instant à l'appel. Je ne suis pas certain qu'il soit très judicieux d'envoyer le reste de la chaîne de commandement dans une recherche aussi risquée. Mieux vaut attendre encore quelques jours de plus, ne serait-ce que parce que l'étude de l'arme a pu leur prendre un peu plus de temps que prévu, et pourquoi pas demander à nos alliés, si nous en avons de fiables et avec les moyens, de garder les yeux et leurs oreilles ouverts au cas où. Après tout, on ne sait jamais. »

Lorsque Larry leur dit de retourner vaquer à leurs occupations, il salua celui-ci de la tête et prit la direction du gymnase où l'attendait une séance de sport avec un sergent instructeur pur jus. Cela ne le réjouissait pas plus que ça, mais il devait reconnaître qu'il en avait besoin. Et puis cela avait le mérite de l'occuper et de lui permettre de rencontrer d'autres membres du personnel.

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