Entretien avec le chef

Assise confortablement dans un siège, dans son uniforme conventionnel, la jeune femme attendait la venu du petit nouveau de l'équipe : le Caporal Mortimer. Aleyna prenait son rôle de chef d'équipe très au sérieux, c'est pourquoi elle avait demandé à cet homme de la rejoindre ici pour un entretien. Connaître les membres de son équipe était primordial, ne serait-ce que pour savoir quel type de comportement ils étaient enclins à prendre. Mieux vaut éviter d'avoir la surprise au dernier moment.

Elle regarda sa montre. 12h55. Dans cinq minutes, il devrait être là, en dessous du cadran de la porte. Elle avait son dossier sous les yeux, un bon dossier pour dire vrai. Mais il s'agissait du cas de tous les membres de cette cité, ils étaient tous bons dans leur domaine, leur simple présence ici le montrait.

Aleyna tourna sur le siège, tout en observant les lieux. Elle avait réquisitionné ce bureaux pour l’occasion, et les couleurs étaient tout aussi métalliques que le reste de la cité. Cette situation l'amusait, elle se retrouvait ici à faire passer un entretien en tant que chef d'AR-1, alors qu'elle ne pensait jamais débarquer sur la mythique Atlantis un jour. En plus, elle était chef de la sécurité. Cela faisait beaucoup de responsabilités, mais la militaire adorait ce travail.

12h58. Décidément, le temps a pris sa retraite. La jeune femme se leva, passa sous la porte et scruta les couloirs, les mains dans les poches. Personne en vue, la cité semblait déserte. Ils devaient tous être en train de manger. Aleyna ferma la porte et retourna finalement s’asseoir en soupirant. Elle posa la tête sur le bureau puis entendit trois coups de l'autre côté de la porte. 13h00. Un grand sourire envahit ses lèvres, elle se redressa en faisant tomber des feuilles qu'elle ramassa aussitôt. Elle prit une voix forte pour que le son se propage à travers le métal des murs.

"Pile à l'heure ! Vous pouvez entrer, la porte est ouverte."

!o
Le Caporal Mortimer Dunaïm se regarde dans la glace de sa chambre. Il a fière allure dans sa tenue de travail bleu, et sa casquette d’Atlantis. Il vient de poser les étiquettes de son nom, son grade sur les parties auto adhérente de son uniforme. Il a rendez vous dans vingt minutes dans le bureau de son chef d’Equipe de la section AR-1 , le Sergent Aleyna Keith, tireur d'élite !
Il relit encore le mail qu’il a reçut, avec son chef d’Equipe, la section comporte
Le Caporal Chef Sofia von Holstein , diplomatie.
Le Sergent Kaylee Beckett, chirurgien,
Le Laborantin Regina De Crow Informatique et communication
Cela fera quatre femmes pour lui tout seule, ce qui n’ai pas pour lui déplaire, cela le changera des équipages exclusivement masculin du HMS Turbulent.

Il parcours les couloirs, en repensant à ce que veux dire AR-1, cela voudrait dire qu’il risque de se retrouver, dans une section d’exploration ? On ne lui avait jamais parlé de cela. Il pensait qu’il serait exclusivement cantonné dans son rôle de maintenance sur Atlantis ?
Mais allé en exploration n’est pas pour lui déplaire. Il faudra penser à demander qu’elle sera sa fonction dans l’équipe, et aussi savoir quel équipement il devra s’équiper.
Il pense à ce qu’il doit emmener.
Une petite trousse d’outils
Un P-90 avec au moins quatre chargeurs, Mortimer n’est pas un fin tireur, mais provoquer un tire de barrage, cela il sait faire.
Deux grenades défensives
Deux pains de C-4 avec des détonateurs,
Une radio, cela est indispensable.
Son arme un Sig-Sauer P226 et son couteau de sauvetage PUMA
Un peut de nourriture,
Une couverture
Un sac à dos avec une Trousse de secours, des lunettes jumels
Et au moins deux flashs de Whisky, la gourde d'eau ne lui paraissant pas indispensable !
Mais devra t'il emmener de l'équipement lourd? Pas certain!

Il se demande si il a déjà croisé le Sergent, mais il a vu tellement de monde depuis son arrivé dans la cité.
Ah le voici devant le bureau, juste à l’heur.

Le Caporal, retire sa casquette, qu’il met sous le bras et frappe à la porte trois coups bref !

Il entend une voix qui lui dit qu'il est pile à l'heure et qu'il peut rentrer..... Alors il rentre!
Il avance dans la pièce, fait un quart de tour impeccable, et sans saluer, n'ayant pas la casquette sur sa tête, il dit d'une voie forte.... Et au garde à vous!

" - Bonjour Chef, Caporal Dunaïm, à vos odres chef!"

Le militaire entra dans le bureau. Il s'agissait d'un Homme à la carrure impressionnante, à la limite de faire peur aux petits enfants qu'il pouvait croiser dans les rues. Aleyna lui fit en grand sourire en guise de bienvenue. Le but de cet entretient n'étant pas d'effrayer le nouveau personnel, elle n'avait pas l'intention de montrer un trop plein de sérieux.

"Bonjour Caporal ! Repos. Asseyez vous, je vous en prie."

La chaise de l'autre côté du bureau était un tabouret, dont l'allure ne donnait pas envie de s'y asseoir plus d'une heure, sous peine d'avoir mal partout. Aleyna compatissait pour ce pauvre monsieur, alors qu'elle se tenait confortablement sur un siège au dossier moelleux. La jeune femme prit un bloc-note et un stylo sur le bureau, qu'elle fit tourner entre ses doigts. Elle regarda son interlocuteur dans les yeux.

"Tout d'abord, comme je n'ai pas encore eu l'occasion de vous le dire, bienvenue à bord ! J'espère que vous ne serez pas trop dépaysez sur la cité. Si j'ai demandé à vous voir, c'est pour parler de vous, pas de vos musiques préférées ou de votre avis sur la qualité de la nourriture, mais de vous en tant que soldat. Tout d'abord, pourquoi êtes vous sur Atlantis ? J'ai lu votre dossier, mais j'aimerai connaître vos motivations. Pensez-vous que vous serez un bon élément sur la citée ?"

Il ne s'agissait en rien d'une question piège. Si le Caporal était ici contre sa volonté, cela ne constituerait pas un bon point de départ pour l'équipe. Pour vivre ici, il fallait le vouloir, être motivé.

.

*Bonté gracieuse!* Mortimer, s'assoit sur un tabouret. Inconfortable comme seule un tabouret sait l'être! Mais notre homme est un soldat qui a défilé pour la célébration de l'anniversaire de sa Gracieuse Majesté, par tout les temps et pendant des heures, ce n'est donc pas ce tabouret qui lui fait peur.....théoriquement!
Le chef veux savoir ce qu'il fait ici? C'est une bonne question, que jamais Mortimer ne c'est poser, car la seule réponse, qu'il tient de Pierre Darc, c'est qu'il y est et que cet endroit en vaut bien un autre, et puis Mortimer, ne l’avouera jamais, il est curieux, et il aime être utile à sa façon! Il se lève se met au garde, comme doit le faire tout soldats de l'Empire Britannique, devant son supérieure hiérarchique.

" - Après mon retraite, Chef! je n'avais pas d'autre *poisson à frire. Je ne ferais pas un ** bavardage en boite. J'ai passé des évaluations et des testes, à Quantico, pensant participer, à une mission dans un antarctique base en tant qu'ingénieur maintenance système.... Et je me suis retrouvé parmi vous, Chef! Ma participation avec les S.A.S. lors de coups de mains à partir du HMS Turbulent, ainsi que certain stages plutôt réalistes avec les Gurkhas, font de moi une personne, un peux aguerrie, j'aime ***marcher dans l'entre du lion, et je ne devrais pas êtres une gêne pour vous, par Jupiter, Chef!"

*Chat à fouetter.
**Moulin à parole.
*** Se jeter dans la geulle du loup.

Le Caporal, attend curieux de la réponse de l'homme..... plutôt de la femme, dans ce cas, qui peut le conduire à la mort. Si un chef doit connaitre ses hommes, un simple soldat doit savoir si le chef, a le charisme pour les entrainer au bout de l'univer.

Sam 2 Jan 2016 - 16:54

Le Caporal, en bon militaire, se mit au garde à vous avant de conter son histoire. Aleyna sourit devant le décalage entre le sérieux de la posture de son interlocuteur et sa façon de parler ponctuée de "Chef !" toutes les trois secondes. Décidément, cette personne était étrange, mais cela ne dérangeait pas la jeune femme. Elle était par ailleurs satisfaite de la réponse du militaire, il avait l'air sûr de lui, cela constituait un atout considérable dans cette aventure dans Pégase. Si il aimait les situations difficiles, il allait être servi.

"Repos Caporal, repos. A moins que ce ne soit à cause du tabouret que vous ne voulez pas vous asseoir ? Je vous l'accorde, il n'a pas l'air confortable."

Aleyna dit cela sur une touche d'humour. Elle sourit au militaire avant de reprendre avec un ton plus sérieux.

"J'ai en effet lu vos différentes expériences, votre dossier est très complet. J'espère que vous serai à la hauteur dans cette galaxie autant que vous l'étiez dans notre chère Voie Lactée. J'imagine que je n'ai pas besoin de vous rappeler que dans l'armée il y a une hiérarchie à respecter, valable également dans cette galaxie. Ici, ce n'est pas des vacances."

Cela était plutôt ironique, elle était tombée amoureuse du type le plus enclin à foncer tête baissée sans écouter les ordres, et c'est certainement grâce à se caractère qu'ils était aujourd'hui ensembles. Aleyna continuait à faire le discours du bon petit soldat alors qu'elle était elle même plus ou moins en infraction, et elle continuerai comme cela autant qu'il serait possible de le faire.

"Avez-vous eu l'occasion de rencontrer les membres de l'équipe AR-1, à laquelle vous êtes affecté ?"

Sam 2 Jan 2016 - 19:21

*Le Sergent, parle, et notre homme écoute attentivement! Oui bien sur la hiérarchie, c'est ce qui inquiet les chefs, toujours, et encore!* pense le Caporal en se rasseyant sur le tabouret, ou il devrait recevoir au moins le médaille pour exceptionnelle courage, pour y resté assit au moins une heure! La chaine de commandement, courte, claire, précis, ce qui est l'apanage du Chef qui permet de comprendre ce qui se passe, et de pouvoir intervenir, même sans ordre, quand la situation évolue au combat, et elle évolue toujours, l'ennemi faisant en sorte de toujours faire ce qui n'était jamais prévus dans aucun plans.Le Chef évoque le faite qu'Atlantis n'est pas un camp de vacance, notre homme l'avait déjà remarqué!Surtout par le faite que ce lieu manquait de bar!
On lui demande maintenant si il a rencontré quelqu'un de l'équipe AR-1! Là, il peut répondre!
Il se lève et répond à cette question au garde à vous!
" - Bonté gracieuse, *pas de coup autour du buisson Chef, j'ai eu l'honneur d'être accueilli par le Docteur Sergent Kaylee Beckett lors de mon arrivé sur Atlantis, ** Une personne facile sur les yeux! Je n'ai malheureusement pas encore eu l'occasion de rencontrer, le Caporal Chef Sofia von Holstein, et le Laborantin Regina De Crow! Je profite de cette question Chef pour vous demander qu'elle sont les équipements de bases que je dois toujours avoir avec moi, ainsi que le matériel que vous souhaiter, me voir emmener, par Jupiter lors de nos sorties, de façon à ce que mon équipement soit compatibles avec mes coéquipiers! ***On ne peut pas voir le gâteau et le manger."

* Tourner autour du pot.
** Une personne agréable.
*** Avoir le beurre et l'argent du beurre

Dim 3 Jan 2016 - 16:02

Une fois de plus, le militaire se mit au garde-à-vous pour répondre à la question d'Aleyna. Il s'agissait de la première fois où la jeune femme voyait un homme se lever spontanément dès qu'il prenait la parole. En plus de cela, il semblait louer un culte à Jupiter.

"Pour la énième fois, et j'espère la dernière, repos Caporal" dit-elle très calmement. "Je vous assure, vous pouvez rester assis, il ne s'agit pas vraiment d'un entretien officiel en plus mais juste d'une demande de ma part."

Aleyna regarda sa montre. 13h11. Le temps avait repris le travail ! Elle reporta son attention sur le militaire.

"Il n'y a pas de raison que vous ne vous entendiez pas avec De Crow et von Holstein. En ce qui concerne l'équipement, je ne suis pas là pour vous chaperonner mais pour que tout le monde soit accordé dans les plans. Alors je n'ai pas de prérequis à vous faire part, vous emmenez ce qui est nécessaire, ce que vous savez utiliser, et ce qui ne nuira pas à la mission. Mis à part les environnements où des treillis de camouflages sont nécessaires, rien n'est imposé. Ne vous encombrez pas de choses inutiles. Mais assurez vous d'avoir au moins une arme, des munitions et de quoi survivre en cas de situation extrême ... même si je l'espère ça n'arrivera pas. J'espère également que vous n'avez pas peur de l’inconnu, parce que c'est ce qui règne ici. Avez-vous lu des rapports d'anciennes missions ?"

Effectivement, cette galaxie était le siège de l'inconnu. En même temps, qui dit nouvelle galaxie dit forcément l'inconnu. Malheureusement, celui-ci n'était pas toujours bénéfique.

Dim 3 Jan 2016 - 21:54

Après s’être assit sur le ban de torture, Mortimer écoute son chef! La réponse ne lui conviens pas tout à fait! Pour lui et pour les militaires qui l'avait former, on ne pouvait pas partir en mission sans connaitre, un minimum, le matériel que les autres membres emmenaient avec eux! Il fallait que le type de balles, soit le même pour tous, de façon, à ce qu'en cas de problème pour soi, les autres membres puissent utiliser les munitions que l'on a porté jusque là! Il fallait savoir qui transporte du C-4, combien de pains, et de détonateur, cela pouvait être important. De ce qu'il comprenait de sa conversation avec le sergent, il devait faire ses courses, à l'armurerie juste avant une mission, notre homme se pose la question : * Y a t'il un rayon spiritueux dans la réserve d'arme?*
La peur de l'inconnu non, au contraire, il aime les chose nouvelles, comme un whisky qu'il découvre, dévoilant un parfum, un gout, un fruité, un corps, une couleur, une saveur, une impression, un arôme, une fragrance, exotique, différente, inconnue. Non Mortimer, n'a pas peur de l'inconnu, il est prêt pour éprouver des expériences nouvelles..... Que ce soit pour la guerre, ou bien pour la paix!

Le Chef parle maintenant des rapports des anciennes missions, alors le Caporal se lève, toujours au garde à vous. " - Chef, oui, Chef, par Jupiter, je les ai découvres, ces documents, je les lits, les compulses, les étudies, les compares, j'en fais des fiches, que j'apprends, cela pourrai être important, de reconnaitre un détaille qui puisse changer le court des événements, en bien ou en mal, *j'ai beaucoup de joue, c'est bien de savoir ou nous allons et toutes ses sortes de chose."

*Ne pas avoir froid aux yeux!

Mer 6 Jan 2016 - 18:59

Pour une fois ... le suspense est à son comble ..... le Caporal Dunaïm s'était ......... LEVÉ !!!!
Pour du suspense, c'était du suspense, digne des fins des grands films Hollywoodiens. La militaire écoutait à peine ce qui lui dit son subordonné. Elle se demandait si le Caporal était trop respectueux pour ne pas se lever, ou si il se moquait délibérément de sa supérieur. L'un ou l'autre, ce comportement était assez agaçant. En plus, Aleyna se sentait petite devant le militaire debout.

"Il y a une punaise sur la chaise ? Restez assit s'il vous plaît, il n'est pas nécessaire de vous lever à chaque fois que vous prenez la parole. Peut être que vous voudriez que je vous l'ordonne ? Parce que si c'est le cas, il n'y a pas de soucis."

Elle avait commencé sa phrase avec un peu d'humour, mais avait finalement durcit ses propos. Peut être que de cette manière il ne se lèverait pas une nouvelle fois ?

Elle attendit la réponse du Caporal. Si il se levait pour dire qu'il ne se lèvera plus, cela serait le comble. Peut être pourront-ils continuer l'entretient si tout le monde restait tranquille, bien assit sur sa chaise.

Jeu 7 Jan 2016 - 11:04

Le Caporal regarde droit dans les yeux le Sergent Keith, les yeux exorbité et il se retourne et regarde très vite le tabouret, en se penchant les mains sur les hanches.
" - Un punaise, vous dite, sur mon chaise, par Jupiter, voila un drôle de chose. *Je ne suis pas un boer. Il y a une espèce d'hétéroptère de le Cimicidae famille, sur le galaxie du volant cheval, sur le tabouret ? Cette hématophage qui pique et suce le sang serait originaire d'ici, ** Je vais ajouter mes deux centimes, puisque on impose une quarantaine absolue comme me la dit le CLSS scientifique, Monsieur Ilias Gouliakos. Les punaises auraient envahis le terre avec les anciens, il y a dix milles ans..............?"
Le Caporal se met à genoux et regarde si cela grouille de petites bestioles, et un doute, un doute sérieux, un sérieux doute même ce fait jour dans son esprit . Car il ne trouve rien, tout est aseptisée dans la tour centrale d'Atlantis. Il se lève, se retour et regarde la jeune fille droit dans les yeux……… D’un œil noir, le sourcil froncé. Au garde à vous! La tête de notre homme bougeant de droite à gauche, rapidement!
" – Bonté gracieuse, vous me faite grimper à l'arbre. ***Vous m’emmenez au pressing. Je suis trop vieux, trop masculin. Je suis en matriarcale pays ici? Je vois! Si vous voulez que je ne vienne pas dans le AR-1 équipe, dites moi le tous de suite par Jupiter et toutes ces sortent de chose !"

Toujours pas très content, le Caporal Mortimer Dunain, attend la réponse de sa chef. *Voir et vous verrez*, il aurait bien dit cela, si il n'attendait pas, pour une fois en silence!

*Etre un ours mal léché.
** Mettre son grain de sel.

*** Rouler quelqu’un dans la farine.

Sam 16 Jan 2016 - 16:09

Aleyna observa le comportement de son subordonné avec un air dubitatif. Ne savait-il pas que les punaises n'avaient pas forcément de petites pattes pour marcher ? Et voilà qu'il se remettait au garde à vous ... Aleyna ferma les yeux, secoua légèrement la tête en soupirant, exaspérée. Elle regarda finalement le militaire dans les yeux. Elle ne lui dit même pas de se mettre au repos, le fait d'être au garde à vous avait l'air de beaucoup lui plaire. Quand il fatiguera, il arrêtera.

"Si vous êtes ici, c'est parce que je veux que vous veniez dans l'équipe AR-1. Si cette équipe ne vous convient pas, je ne vous retiendrai pas. Et non effectivement il n'y a pas de "punaise" ici. Je parlais de celles en métal et en plastique, qui servent à accrocher des choses aux murs. De toute façon, c'était une question rhétorique. Il n'y a aucune sorte de punaise sur votre chaise."

Aleyna s'arrêta de parler, puis reprit, interloquée.

"Dites-moi, vous n'avez pas de problème à ce que ce soit une femme qui dirige l'équipe ?"

La jeune femme avait durcit le ton sur cette question, elle ne savait pas comment prendre les derniers propos du militaire. Avait-il quelque chose contre les femmes ? Parce que si il en avait, cela allait poser problème étant donné la composition de l'équipe : seulement des femmes dont toutes les militaires étaient plus gradées que cet homme.

Sam 16 Jan 2016 - 21:55

" - Chef, oui Chef, je suis très heureux de faire partie de l'AR-1 équipe! Bonté divine. Non, je ne changerais pour aucun des joyaux de la Britannique Empire de la London Tour, mon place dans cette équipe, Chef! Sauf si vous en décidez autrement, et *cela quand les cochons pourrons voler."
Notre homme dit cela dans un flegme toute Britannique, toujours dans un garde à vous qui n'aurait pas dépareillé une parade de Buckingham Palace!
" - Chef, non Chef il n'y a pas de punaise ici, vous avez raison, Chef."
*Le Chef a toujours raison! Article un, Si le chef n'a pas raison se référer automatiquement à l'article un.*
" - Quand a votre question, Chef, si j'ai un problème qu'une personne du beau sexe, dirige le AR-1 équipe, non Chef! Comme je n'ai pas de problème, que notre royaume soit dirigé par notre Très Gracieuse Majesté le Reine."
Les yeux du Caporal regarde le Sergent droit dans yeux.
" - Tant que je serais avec le AR-1 équipe, j'irais ou mon Chef me dira d'aller, par Jupiter, même si c'est pour aller faire un tour, au fin fond des enfers, ou bien, partir pour un diner aux chandelles, en tête à tête, avec vous Chef! Je tiens à cette mission,**le pomme de mes yeux. "
Le Caporal lève le menton, lève la jambe et tape violement du pied le sol, et il reste fixe comme une statue de cire du musée de Madame Tussaud, en attendant la réaction d'Aleyna Keith.

* Quand les poules auront des dents.
** Y tenir comme la prunelles de ses yeux.

Sam 23 Jan 2016 - 18:50

Aleyna fut rassurée, le Caporal était content de faire parti d'AR-1, et il n'avait aucun problème avec les femmes. Tant mieux, ils ne partaient pas sur des désaccords.

"Je vous rassure, il n'y aura pas de dîné aux chandelles entre nous. Ni rien d'autre de ce genre. Par contre pour le voyage aux enfer, je ne peux rien vous assurer ..."

Aleyna entendit son oreillette lui parler. Ou plutôt quelqu'un s'adressa à elle par l’intermédiaire de l’oreillette. Apparemment, ils avaient de nouvelles informations pour leur prochaine mission, ils demandaient donc la présence de la militaire. Elle appuya sur l'oreillette avant de répondre.

"J'arrive tout de suite."

La jeune femme regarda le Caporal dans les yeux.

"Je suis navrée, on va devoir écourter cet entretien. Je ne vous retiens pas plus longtemps, vous pouvez y aller. Merci pour le temps que vous m'avez accordé."

Elle se leva et montra de la main la porte de sortie.

[Ellipse. Plusieurs heures plus tard.]

Aleyna avait finit de travailler avec ses collègues sur l'élaboration de la mission. Cela avançait plutôt bien. Maintenant, elle devait partir en patrouille sur la cité. Mais cela n'avait pas fini de la manière qu'elle espérait ... La patrouille, elle devait la faire avec Adam. Ainsi, depuis plusieurs minutes la jeune femme ne tenait plus en place, elle avait vraiment hâte de passer du temps avec lui. Juste tous les deux, à l'abri des regards dans une partie peu fréquentée de la cité, pour ne pas dire pas du tout. Mais non, le destin en avait choisi autrement. Visiblement, quelqu'un en voulait à Aleyna là-haut dans le ciel. Elle et Adam avaient été assignés à deux endroits différents. Finalement, la militaire se retrouvait avec le petit nouveau qu'elle avait rencontré ce matin. Au moins, elle pourrait évaluer ses aptitudes. Elle aurait préféré évaluer celles d'Adam ....

Aleyna pris sa radio, la sienne et celle de Mortimer devait être sur le même canal pour la patrouille.

"Caporal, je vous attend à l'aile sud-est, au lieu convenu."

Elle avait déjà hâte que cela se termine, pour enfin pouvoir retrouver son cher et tendre, et profiter de la vie. Détendue, sur un lit moelleux, ou dans un baignoire bouillonnante, avec un homme l'aider à se relaxer. C'est comme cela qu'elle voyait la soirée.

Sam 23 Jan 2016 - 20:42

Balade dans la cité.

Mortimer sort de la cuisine de Joseph Mombassa en poussant sa déserte d'outils et de matériel divers de maintenance, comme la camera infra rouge endoscope, pour voir dans une machine, ou un écarteur pneumatique, pour forcer mécaniquement un obstacle comme une porte, il a aussi un chalumeau, mais avec une petite bombonne de gaz, trois minute d'autonomie, un spectromètre, des outils, quelques pièces de rechanges communes, un ordinateur portable. Il part pour sa première patrouille dans les fin fonds de la cité d'Atlantis avec son Chef. Il est là aussi pour contrôler si tout va bien dans les endroits ou ils vont passer, et faire des réparations, rapide ou urgente si il y a lieu, mais surtout prévenir et alerter. Comme armement il n'aura que son Glock 17 et son Couteau de sauvetage PUMA. L'écran du portable lui présente un passage par des balcons extérieures, comme il est en avance, il en profite pour allumer sa pipe. De l'endroit ou il est, il a une vu sur leur cité, elle est énorme, et il se demande si des hommes en ont déjà visité tous les recoins. Et comment savoir si un changement est intervenue entre deux visites. C'est cela qui passionne Mortimer, un lieu plein de surprisse, bonne ou mauvaise.

Sa radio se met a crachoter. Son Chef se rappelle à son bon souvenir. Notre homme appuie sur le bouton de liaison montante du récepteur émetteur.

" - Chef oui Chef, je suis presque arrivé, par Jupiter, avec mon matériel au téléporteur de l'aile sud. Chef!"

Il repasse en mode décente de son poste, le Sergent ne répond pas. Sa pipe étant fini, il la nettoie, et pour faire passer l'odeur du tabac, il sort son flash de whisky, et boit une goulée de ce splendide breuvage.

Ils se rejoignirent au lieu convenu de l'aile sud-est. La patrouille allait pouvoir commencer ! Et se terminer. Surtout se terminer, et le plus vite possible.

"Rebonjour Caporal ! Prêt pour la patrouille ? On a deux heures à passer ensembles, alors je propose qu'on s'y mette dès maintenant."

Aleyna commença à marcher dans le couloir, sans réellement être concentrée sur ce qu'elle était censée faire. Elle pensait à tout et n'importe quoi, à n'importe qui. Ou plutôt .... à n'importe quoi qui concerne une certaine personne. Peut être qu'ils croiseraient sa patrouille ? Ils pourraient se regarder, parler pendant cinq minutes, puis partir chacun dans leur direction. Sans se retourner, bien évidemment. Aleyna tourna la tête vers son compagnon du moment.

"Alors, vous vous intégrez bien sur la cité ?"

Elle gardait une cadence régulière, marchant vite comme pour transcender le temps. En faite, elle s'en fichait un peu de l'intégration du Caporal dans la cité. Pas pour le moment en tout cas. Mais il fallait bien engager la conversation, le silence était encore plus pesant que l'attente. De plus, elle n'avait pas d'idée de conversation intéressante, certainement parce que rien ne l'intéressait à cet instant. Il y a avait bien quelque chose qui lui importait beaucoup, mais cela ne pourrait pas constituer un sujet de conversation ...

Elle semble bien pâlichonne le chef. Elle doit être amoureux pour être comme cela le chef! " - Oui chef, je suis prêt chef, on peut aller faire cette ronde de deux heures, maintenant chef. Par Jupiter!" Ceci dit, bien sur au garde à vous! Ils avancent dans les couloires. Elle comme sans bute, et lui poussant sa desserte. Cela semble sans bute. Mais il suffit au Caporal, de regarder sa boussole pour voir que le chef semble suivre une direction bien précise. Ils avancent sans dans les couloirs, la lumière s'allumant à leur approche et s'éteignant derrière eux. Ha? tient non " - Chef, je demande votre pardon chef, le lumière il ne s'allume plus, ce doit être le infra rouge capteur....." Le Caporale s'arrête et recherche dans ou se trouve le circuit défectueux obligeant la jeune fille à s'arrêter. Il ne lui faut pas plus de quatre minutes pour trouver la pane et changer la pièce défectueuse. Puis ils repartent dans les entrailles de la cité.
La jeune femme voudrait savoir si il s'intègre dans Atlantis, il aurait bien aimé lui dire qu'il a des amis come le cuisinier Joseph Mombassa et l'ingénieur Sonar Iossif Kousnetzoff avec qui il construit un alambique.... Il faut mieux qu'il n'en parle pas, par prudence. " - Chef, oui Chef, je m'entends très bien, avec les personnes travaillant dans le Maintenance Service, Chef!" Enfin quand il en voit, ils n'ont pas toujours les mêmes horaires, ni les mêmes lieu de travail. En réfléchissant d'ailleurs, il y a bien une personne ou deux de la maintenance qu'il a du voir au moins deux fois.... Peut être!
Soudain notre homme entend un bruit, un petit "Ploque". Le Caporale se guidant au bruit, trouve une petite mare, c'est une fuite d'eau, un conduit en acier qui goute. C'est un travaille plus sérieux qui prend à Mortimer trois bonnes heures, en utilisant toutes ses connaissances en plomberie!

Le Caporal s'arrêta pour réparer une lumière défaillante. Aleyna aurait bien secoué le militaire pour qu'il se dépêche, si il s'arrêtait tous les trois mètres c'est sûr qu'elle louperai la patrouille d'Adam. Heureusement il fut rapide, ils purent reprendre le chemin. La jeune femme ne fit pas vraiment attention à la réponse de Dunaïm, peut être qu'il s'intégrait bien, peut être pas. Elle acquiesça tout de même mécaniquement. Au grand dam d'Aleyna, le Caporal stoppa leur avancé une fois de plus. Elle cru qu'elle allait l'étrangler, mais choisit plutôt de faire les cent pas dans le couloir pour s'occuper. Toujours pas d'Adam en vue ... Espèce de journée de ....

Aleyna se reprit puis vint retrouver le plombier temporaire.

"Vous avez terminé ? On a pas toute la journée, et on a plusieurs secteurs à explorer."

Elle aurait voulu sa voix plus calme, mais il était difficile de se calmer dans une situation pareil. Et dire qu'elle aurait du faire cette patrouille avec son Caporal-Chef. Mais non, jamais au grand jamais la moindre chose pouvait se passer comme il était prévu au début. Il s'agissait de la triste réalité de la vie. De toute façon, sa journée était déjà foutue, elle ne trouverai jamais la patrouille d'Adam parce que la cité était beaucoup trop grande pour cela. Elle avait tendance à s'agrandir dès qu'on cherchait quelqu'un, puis quand on voulait échapper à un autre elle rapetissait. En somme, il s'agissait d'une cité magique. Avoir été coulée dans l'eau ne lui a pas suffit à cette petite maligne. Elle est remontée pour montrer qu'elle était la plus forte, maintenant elle joue au labyrinthe avec ses habitants. Ce n'est pas la Cité des âmes perdues, c'est la Cité des âmes vagabondes.

" - Je demande votre pardon Chef, le temps de consigner la réparation dans le registre et nous pouvons continuer. *Il ne faut pas presser les riches jusqu'à ce que grincent les pépins!" Notre homme prend le temps de noter et d’écrire le matériel et la quantité utiliser pour cette intervention, puis ils repartent. Il aime bien ses balades ou il faut regarder, savoir écouter le moindre bruit...... Ils passent dans des lieux bizarres, des pièces aux mécanismes grandiose et étonnant...Tous cela est comme neuf malgré les dix mille ans de la cité. Ils passent devant une machine, dont il ne peut deviner l'usage si ce n'est que le nom sur la carte, qui défile sur l’écran du micro, Ils sont devant un élipsomètre gigantesque... une machine qui permet de mesurer des couches minces sur un substrat....... Fantastique. Mais à quoi peut bien servir de connaitre l'épaisseur d'une couche mince...? La couleur des pièces est changeante et on peut passer du vert pomme, à l'orange en l'espace de quelques secondes. C'est fantastique, et le plus étonnant c'est que tout est propre comme si une armée de nettoyeur passait des heures à tout astiquer. Pas un grain de poussier, mais aussi pas une plante, pas une fenêtre qui indique s’il y a du soleil à l’extérieur... Et soudain notre homme remarque des moutons sous un bloc machine
" - Chef pardon Chef, je vais voir le problème de plus prêt. **Je ne me repose pas sur mes avirons" Et Mortimer se couche le dos contre le sol sous la machine, et trouve très vite le problème, un tat de poussière obstrue la bouche d'aspirateur. Ses mains trouvent facilement du fils de fers dans sa poche à coté de son flache de ? ...... Avant de former un crocher , il se permet de se nettoyer la bouche avec son breuvage. Il débouche rapidement le conduit, qui se remet aussitôt à aspirer...... Notre homme sort, couvert de poussier et dit .... " Chef, dite chef il est temps de manger un morceau." Pendant que Mortimer s’époussette un peu plus loin, une odeur agréable et délicieuse, se répand dans la pièce provenant de la déserte d'outils...... Du foufou aux chenilles grillées, un plat typique, préparé par Joseph Mombassa le cuistot !

* Ne pas pressé quelqu’un comme un citron.

**Ne pas coincé la bulle

Ils continuaient de marcher dans les couloirs. Le Caporal semblait être émerveillé parce ce qu'il voyait, Aleyna ne comprenait pas pourquoi. Tout se ressemblait ici, les anciens n'avaient aucun goût en terme de design. La chose pour laquelle ils étaient les plus doués, c'était pour les armes. Leurs armes étaient vraiment superbes ! Il cité possède de magnifiques drones qui doivent faire envier plus d'un Wraith !

Le Caporal s'arrête encore une fois, pour réparer une machine bizarre. De toute façon, qu'il fasse des pauses une ou deux fois de plus, cela revenait exactement au même. Ils pourraient même s'arrêter au même endroit et ne plus rien faire jusqu'à la fin de la patrouille, puisque de toute façon il ne se passait jamais rien.

En attendant le militaire, elle n'avait plus qu'à chercher une manière de s'occuper. Elle n'en eu cependant pas le temps puisque Dunaïm répara d'une manière efficace ce qu'il y avait à réparer, et il sortit couvert de saletés qui volèrent dans les airs. Aleyna bougea très vite ses mains devant son visage pour faire disparaître la poussière. Contre toute attente, le militaire proposa à la jeune femme de manger. Elle ne pu qu'accepter étant donné qu'elle aussi avait une faim de loup, et que la patrouille passerai plus vite avec quelque chose dans le ventre.

"D'accord, on fait une pause. On s'y remet dès qu'on a fini de manger."

Elle s'assit contre le mur du couloir et déposa son sac à doc devant elle. Elle en sortit un sandwich, son préféré, au poulet et à la moutarde. Il était bien mérité ce repas ! Elle enleva le papier au tour du pain puis croqua une grande bouchée. Délicieux !

Après s'être dépoussière, notre homme revient vers sa desserte. Il l’entrouvre et fait apparaitre une planche qui lui sert de table. Il déplie une chaise. D'un petit tiroir, il sort une belle nappe brodé, il dépose dessus une assiette, un verre à pied, un couteau et une fourchette, une belle assiette Alsacienne avec comme décore une cigogne. Il prend une petite bouteille de vin rouge, et à l'aide du tire-bouchon de son couteau suisse, il retire le cylindre en liège d'un pop retentissant, et notre homme se verse quelques gouttes dans son verre, il le lève et en regarde la splendide robe, approche son nez pour en respirer les subtiles nuances, et goute le délicat breuvage......"- Par Jupiter, il y a de la cuisse!."
Reposant son verre, il sort un repose plat en forme de cœur et prend dans le micros onde, le plat préparé par Joseph Mombassa et le dépose précautionneusement. Il prend une cuillère en bois et mélange le plat, puis se sert. Mortimer s'assoit et se met a gouter le plat et émet un " - mmmme." de contentement. Il regarde la jeune fille, puis son assiette..... " - Ohhh! Je demande votre pardon, Chef, voulez vous gouter le préparation spécial, de notre préféré cuistot, c'est du foufou aux grillées chenilles, il m'en a mit une ration bonne, il y en a pour deux ..... ?" Sous le regard étonnée du Sergent, il précise," - Le foufou c'est du manioc, Chef, un arbuste du Brésil dont les feuilles et les racines se mangent....? ? Ah! Ca....Ce sont des larves de nuit papillons , pour les conserver, il suffit de les faire sécher au soleil dans des corbeilles. " Dit Mortimer en sortant une assiette sur laquelle trône l'écusson d'un ours au dessus de la porte de Brandebourg de Berlin, et il la remplit du met de Joseph.

Aleyna regarda Mortimer s'installer. Tout d'abord, il avait une chaise et une table. Quoi de plus normal quand on est de garde dans la cité ? La jeune femme se sentait petite assise à même le sol. Mais si il n'y avait que cela ... Le militaire sortit également une nappe. La tireuse d'élite fit de grand yeux devant tant de prévoyance. On aurait dit un repas comme un autre, si quelqu'un passait par là il serait bien surpris de ce petit manège. Mais avec Mortirmer, on était habitué à être surpris. Aleyna fronça les sourcils lorsque son camarade sorti de l'alcool. Elle l'observa ouvrir la bouteille avec attention comme si il s'agissait d'un spectacle hors du commun, puis pris finalement la parole.

"On est en service ..."

Aleyna aurait presque pu être étonnée quand le Caporal pris son micro-onde. Visiblement, il trouvait son plat délicieux. C'est vrai qu'à l'odeur il avait l'air bon, et Mortimer fut gentil d'en proposer à la jeune femme, avant qu'il en donne la recette ... Aleyna fit une mine de dégoût. Et savoir que les larves avaient été séchées au soleil dans une corbeille ne la rassurait absolument pas.

"Non merci, je passe mon tour."

La militaire se rendit compte que devant toute cette scène elle avait oublié de manger. Il était pourtant délicieux son sandwich, mais voilà qu'elle n'avait plus vraiment faim. Elle se força cependant à avaler son poulet et sa moutarde enrobés dans du pain.

"Vous devriez vous dépêcher, on repart dans dix minutes, on a pas encore fini et je ne voudrais pas être en retard."

Parce que oui, sa soirée tranquille avec Adam était toujours d'actualité.

*Par des couloirs incertain.* (ou l'inverse)
Le Sergent-Chef ne semble pas très apprécier la saine et bonne nourriture du cuisinier Mombassa, dommage, mais cela en fait plus pour les autres! Et le Caporal se dépêche lentement de finir son repas le temps d'attendre que le café à l'Italienne passe. Bientôt les deux homm..... les deux Militaires reprennent leurs rondes dans ce quartier ci d'Altantis!
Ah si il faut signaler le moment ou le Caporal-Chef Aleyna Keith chef de la sécurité d'Atlantis met un genoux a terre, son arme prêt à tirer, en cherchant d’où vient un bruit étrange.
" - Je demande votre pardon Chef, mais ce bruit et le dernier cycle de le petite lavé machine qui se trouve dans mon desserte.........."

*Crétin , pourquoi le chef a t'il traité le desserte de crétin!........?*

Cela fait un bon moment maintenant, que la patrouille circule dans un couloir dans une certaine pénombre entre deux glaces noires. On ne distingue rien de ce qui ce passe de l'autre coté. Même la lampe de quatre cent watts relié au générateur de la desserte n'arrive vas à percer la noirceur du vitrage.

Ils cheminent dans ce milieu, pendant que le Sergent -Chef signal cet endroit, en communicant par radio à la tour centrale, ils découvrent un renfoncement dans le couloir et la un pupitre!

Le Sergent-Chef aurait bien voulu dire de ne toucher à rien, que le Caporal enfonce le seul et unique bouton du tableau de commende.

Alors, tout au fond des couloirs, des lumières s'allument suivit d'autres régulièrement, et bientôt la patrouille distingue ce qu'il y a dans les pièces.

Ils distinguent sur le sol ce qui ressemble à de la terre rouge, mais déjà du plafond tombe une bruine qui émet un brouillard empêchant de nouveau de distinguer ce qui ce passe à l’intérieur des pièces. Surtout que maintenant ils entende des bruits incongrus comme si des machines c'étaient misent en route

Pour Mortimer cela évoque une usine Hydroponique comme il en déjà vu dans le désert du Negev, lors d'un escale secret du sous Marin HMS Turbulent à Eilat

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