Début d'un long voyage

Apres l’arrivé du Docteur Archibald Delamare le Sergent demande le signal du départ.  En quelques secondes le fabuleux voyage se fait, AR-1 arrive sur le BC-305, le John Lorion. Et là au grand t’étonnement du Caporal, il y a aussitôt.... il y a séparation du groupe…. Bon lâché tous seule, notre homme prend des initiatives. Il touve un jeune enseigne et lui demande ou se trouve les quartiers des invités, le magasin, l’intendance, le poste de commandement et  le mess. L’Enseigne qui vient de sortir de West Point est super motiver, et lui demande de le suivre. Ils arrivent à la chambre  qui lui est attribué et il y abandonne son sac à dos et son matériel. Il change le code de la porte pour ne pas se faire voler son armement. Puis toujours conduit par le jeune officier, ils arrivent au local de l’intendance ou on lui prête pour la duré du voyage trois combinaisons de travail bleu. Ils arrivent très vite au magasin ou se trouve les caisses qu’il a envoyé il y a quelques heures. Il remercie chaleureusement l’enseigne.  Les boites ne sont pas abimées, il demande ou il peut les stocker, sans que cela gêne personnes, on lui attribut un local avec des armoires ou il peut ranger le matériel pas très loin des anneaux de transfère, En une heure , tout est rangé et étiqueté, il garde un listing des appareilles, en cas de besoin. Puis il suit la coursive pour arriver sur la passerelle de commandement ou se trouve le pupitre de l’Armement. Notre homme se présente et demande s’il peut suivre l’entrainement, sur les canons magnétiques du vaisseau le temps du voyage allée. Et c’est comme cela que quelques minutes plus tard Mortimer se retrouve entrain de démonter sa première bobine d’excitation, avant d’ouvrir avec délectation son premier condensateur puis  le train magnétique n°4  qu’il doit manipuler en moins de vingt quatre minutes….. Si notre homme en oublie d’allé au mess, il apprécie le breuvage légèrement alcoolisé, qui est produit dans l’alambic clandestin du vaisseau………….

" Ouainnnnnn Ouainnnnnnn ceci n'est pas un exercice, ceci n'est pas un exercice Ouainnnn."

Mortimer se précipite en entendant ce signal et enfile rapidement le scaphandre léger comme tout le personnelle présent autour de lui. Il boucle son casque et ouvre l'arrivé d'aire, en vérifiant le manomètre.... de quoi tenir trente minute. Il se connecte à la ligne radio interne, en attendant les ordres. Une voix du poste de commandement leur signal qu'un vaisseau viens d'apparaitre et viens vers eux. Il entend la voix dire de ne pas ouvrir les sabords, pour ne pas montrer de signe de provocation. Mais il faut remplir les condensateurs et mettre deux barillets multifonctions sur les cannons électromagnétiques. Alors commence la dance des petites mains qui accompagne le mouvement des armes, en même temps que les cloisons se ferment, séparent chaque canon. Arrive le moment ou les lumières passent du rouge au vert, ce qui indique que les condensateurs sont chargés. Mortimer s'entend dire dans son micros " - Accumulateur numéraux sept, prêt!" Il ressent la même boulle qui se forme dans son ventre, quand son sous marin, le HMS Turbulent était prêt pour tirer un missile Harpon. La petite voix du casque signal que le navire inconnue est pour le moment du côté tribord. Cela veut dire que ce sont les paires qui peuvent tirer, pas eux. Ce qui n'est pas bien dans un scaphandre, c'est qu'on ne peut pas se gratter le bout du nez, pour atténuer . Un Armurier vient de fixer un barillet sur son canon, et la petite voix lui demande de charger un obus anti magnétique et son sabot. Il effectue la manouvre et annonce que la canon numéraux sept est prêt. Et c'est le moment le plus affreux, le plus terrible, celui de l'attente......

Il y a un silence à entendre voler les mouches, qui n’existent pas, dans ces espaces aseptisés! Prêt des canons électromagnétique tous l'armement est au vert prêt à tirer quand l'ordre viendra du poste de commandement, ou plutôt quand les stratèges, commenceront le tire. Leur rôle dans les coursives, ce n'est pas de tirer, c'est que les officiers aux postes "Navigation et combats" puissent utiliser au mieux tout l'armement du John Lorion. Ludmilla lui avait dit que parfois quand tout le staff du poste de commandement était tué, il arrivait que les mécaniciens, les armuriers, se remettaient à combattre comme au vieux bon temps de la marine à voile, Sabre de bois et une bouteille de rhum! Chacun son canon, en avant la mitraille! Plus d'ordre , chacun pour soit et toutes ces sortent de choses. Pour le moment, on en était pas là. et les deux navires entament une danse majestueuse, ils pivote doucement dans l'espace infinie
 
 
D’où il est Mortimer par un hublot, commence à voir le navire apparaître. Doucement sans accoue. L’inter forme signal " - C'est un vaisseau Wraith ! Un vaisseau ruche !"  Pour détendre l’atmosphère, le caporal sort sa phrase sur le flytoxe, qui ne fait rire personne.   Le vaisseau est maintenant bâbord amure, et cela serait de leur coter d'ouvrir le bal.  Leur Major leur fait le signe d'ouvrir leur bouteille d’oxygène maintenant. Dunaîm vitrifié son manomètre encore une fois. Mais pour le moment les sabords restent fermer. Tout peux se passer, y comprit rien du tout. les gorges sont sèches, les yeux tendu vers tous les pupitres, a attendre le déclenchement des hostilités.

Et le pire dans son scaphandre léger, Mortimer ne peut pas prendre une goutte de son whisky qu'il a pourtant prudemment emmené avec lui.     

Mortimer a finit la réparation du canon magnétique numéraux sept quand soudain un signal orange clignotant se déclenche. [Arrêt de tire]. Notre home regarde autour de lui, et constate que sur les autres canons, il y a le même signal. Il ne peut donc plus rien faire.

 
Il voit aussi un corps dans un renfoncement, il y a eu du dégât à seulement quelques mètres de lui….. Son arme est opérationnelle et il n’a pas besoin de rester là, le corps si !  En quelque bond le Caporal arrive et il constate que la personne est blessé au ventre, et qu’une partie du scaphandre est ouvert, que l’aire pulse par cet endroit. Il reconnait les cheveux de Ludmilla……Il regarde le manomètre de la jeune femme, trois bars,…Même pas une minute. Il sort un grand rouleau de scotch et colmate la fente comme il l’a vu faire dans « Seul sur mars » coupe la bombonne de la jeune fille et la remplace par la sienne, ou il y a de quoi tenir dix minutes. Il sait que son propre scaphandre, contient de quoi tenir une minute ou deux,  il ne faut pas traine, et malgré les soubresauts du John Lorion, il prend la jeune femme dans ses bras et se dirige vers la sortie de la pièce. A travers le scotch transparent il voit un peu de sang couler. Dunaïm enclenche  sur le bouton d’urgence du sas avec son coude,  il y entre rapidement et la porte se referme rapidement, Mortimer commence à manquer d’aire, heureusement ce gaz remplit cet espace rapidement et notre homme dégrafe son gant pour respirer. Il ouvre la deuxième porte, déjà un infirmier vient l’aider et lui désigne un sarcophage de secoure. Il dépose Ludmilla dedans, déjà le secouriste découpe avec un couteau laser, le scaphandre de la Tchèque. Il voit les yeux de la femme papilloter, pendant que l’infirmier applique un pansement compressif sur le ventre. Elle se met d’instinct dans la position du fœtus, ce qui va arrêter l’hémorragie. L’infirmier referme le couvercle du sarcophage, pianote un clavier, et le coffre part seul en direction de l’infirmerie ou il subira un trie d’urgence.
 
Mortimer n’a plus rien à faire dans cette pièce… Si, il remet son gant pour l’étanchéité, il prend une bouteille pleine et la fixe à son scaphandre, le manomètre indique qu’elle est pleine. Et notre homme se dirige vers le sas, pour voir ou en est la bataille…..