Le Dédale

 
Il fait beau sur la darse. Le soleil est chaud et brille en se reflétant sur les parties métalliques de la cité d’Atlantis. D‘ou il est, Mortimer entend le vrombissement du compresseur qui remplit à deux cent bars, les bouteilles d’air comprimé à l’intérieur du club de plongée.
Notre homme à finie sa pipe, et la nettoie en jetant dans l’eau un regard! ……. Mimil, le Faux Congre ne semble pas vouloir venir aujourd’hui. Mimil, il faudra lui trouver un autre nom. la mer est claire et cristal.
 
Le bruit dans le local diminue, les bouteilles doivent être remplit. Mortimer rentre et il ferme les vannes des bouteilles. Il en a remplit plusieurs et il en équipe une d’un octoppus,. Il vas au bout de la jeter ou il descend la bouteille a vingt mettre au bout d’un bout, comme bouteille de sécurité, en cas de panne d’aire ou qu’il faille faire une un long palier.  Il a pris la précaution de munir la bouteille d’un clignoteur, pour la trouver sous l’eau, en cas de problème.
 
En revenant il signal par radio à la tour de contrôle qu’ils vont lui et Jeremy, entamer vers quatorze heures une plongée, pas plus de quarante cinq minutes.
 
Le jeune doit arriver bientôt, et l’écossait vérifie une dernière  fois les ordinateurs, et les lampes.
 
Aujourd’hui, ils vont entamer une progression sous la cité, mais pas à plus de vingt mètres. Pour descendre à quarante mètre, le Docteur devra passer son niveau deux, mais plus tard, il faut passer la théorie avec l’études des tables de plongées.

Jeremy était de repos aujourd'hui. Une journée entière sans analyse ou problème de paperasse à régler pour le compte de l'infirmerie ou de questions inutiles sur le Lorion qui était en mission et hors de portée d'Atlantis. Il en avait donc profité pour dormir plus tard que d'habitude. Une fois debout, il avait pris son temps puis il était allé courir une heure avant de passer 1 bonne heure à la salle de sport de la Cité. Après une bonne douche, il était parti profiter du beau temps qui régnait et était allé lire sur l'une des terrasses où quelqu'un avait eu la bonne idée de mettre des tables et des chaises.

Mais il ne cessait de regarder l'heure, car son activité la plus intéressante de la journée avait lieu dans l'après-midi. Il avait prévu une nouvelle plongée avec le caporal Dunaïm et il avait vraiment hâte. Ils avaient tous les deux commencé à explorer les dessous d'Atlantis. Ils n'avaient rien trouvé de vraiment extraordinaire, mais il trouvait cela intéressant et lui donnait une autre perspective sur sa « maison » du moment. Et gros bonus, vu que la météo était au beau fixe ce jour-là, la visibilité sous l'eau devrait être meilleure que d'habitude.

L'heure fatidique étant presque là, il prit le chemin du club de plongée. Comme d'habitude, le trajet lui prit un temps fou, mais il finit par atteindre sa destination. En chemin, il se demanda ce que leur sortie allait leur réserver comme bonne surprise et si leur « ami » ferait une apparition ou non.

« Bonjour Caporal ! » lança-t-il en entrant.

Il ne perdit pas de temps et alla s'équiper avant de se soumettre aux vérifications d'usage avant la plongée.

Mortimer et Jeremy descende à dix mètres. Il fait le signe que tout va bien, et il attend la réponse du John homme. Il demande lui combien il reste d’aire, Cent quatre dix bars, C’est bon ! Puis ils descendent  vers vingt mètres.  Les deux plongeurs allument leurs lampes, et ils commencent à passer sous la cité d’Atlantis. La luminosité est alors très faible. Le Docteur a conflué sa stab, juste ce qu’il faut pour son équilibre. Les deux hommes avancent doucement en regardant les superstructures qui s’offrent à eux. Notre homme n’arrive pas à déterminer les étranges formes qu’il découvre, ce n’est pas des cheminées, ce n’est pas des hublots, ce n’est pas des portes…… La liste des ce n’est pas s’allonge dans sa tête. Le plus étrange c’est de ne voire aucune plantes, aucun coquillage accroché aux parois, comme si une peinture à base de mercure avait été appliqué, mais dans ce cas, il n’y a aucune peintures, c’est les plaques qui repoussent toutes forme de vie. Il faudrait connaitre cette innovation pour que la terre en profite, surtout si elle est non polluante.
 
Mortimer regarde à son poignet gauche sa boussole, il prend une direction, et indique le changement de route à Jeremy. Il devrait commencer une lente remonté en suivant les courbes et sortir de dessous Atlantis dans une demie heure, ils pourront sortir et rejoindre en *capelé, la darse. Il a prit soin de faire en sorte de revenir avec le vent dans le dos.
 
Il se rapproche, et aux bruits il reconnait la façon de palmer des ses deux créatures. Ils se sont enfoncés loin sous la cité, il pourra les coincer et se venger, surtout que l’autre affreux serpent n’est pas là. Il doit être entrain de sonder loin à la recherche de krills !
 
  

*(Capelé, revenir en nageant mais en ayant toujours l’embout en bouche.)

be

Mimile nage en ondulant à très grande vitesse quand soudain il entend un bruit étrange "Bang!", Le Faux Congre s’arrête de nager. Essayant de comprendre ce qui ce passe. Il entent un cris de colère, de son ennemie, mais ce n'est pas un cris de victoire. Alors il repart en direction de la cité en se demandant ce qui ce passe.


Le petit animal jaune fonce heureux, toutes griffes dehors, il va pouvoir découper et manger du monoeil. Il les a piégé dans cette grevasse, et n'ont pas d'autre choix que le contacte. Mais alors qu'il se rapproche, voila que le plus vieux se transforme et il fait passer au dessus de lui la masse jaune, et contre toute attente la Peluche reçoit un coup de bouteille sur son vissage. "Bang!"

Mortimer, ne sait quoi faire, il lui faudrait une arme, ou au moins un bouclier???? Mais un bouclier il en a un. Il pense en faisait sauter ses attaches a cette exercice qu'il pratique en piscine. Pour pouvoir passer dans un trou ou un plongeur ne peut passer avec sa bouteille sur le dos, retirer sa stabe et donc la bouteille pour prendre l’ensemble devant avec ses mains et donc pouvoir passer par l'orifice. Le détendeur toujours en bouche. C'est ce que parvient à faire le Caporal, et il en profite pour donner un violent coup de bouteille sur le visage de l'animal. "Bang!"  
 
Le coup est violant, et le Caporal  parvient à repousser la créature, qui a griffé furieusement la bouteille et la stabe. Mais si le stabilisateur est en tissus, la bouteille elle, est en acier. Le Militaire voit plusieurs griffes se briser, et l’animal reculer. Mortimer en profite pour rejoindre Jeremy, et essayer de trouver une issus.

La peluche furieuse pousse un gris de rage..........

Note : La stabe déchirée, n’empêche pas le Caporal de respirer. Elle ne pourra plus servir de bouée une fois à la surface.  

Le petit monstre semble parti. Mortimer tants biens que mal positionnent à quinze mètres son stabilisateur déchiré et la bouteille. Cela tient derrière le dos, Notre homme peux se remettre à nager normalement, même si il ne peut plus s’équilibrer normalement, en injectant un petit peu l’aire dans le stabilisateur, il recherche sa lampe, l’allume et regarde son équipement.  Le principal c’est que les tuyaux n’ont pas été touchés, sinon c’est la catastrophe. Il regarde le manomètre et constate que c’est la catastrophe, soixante bars, il a pompé l’aire comme un aspirateur pendant son exercice avec la bestiole.  Il ne lui reste plus que dix minutes d’aire tout au plus !
 
Il voit la lampe  de Jeremy qui essayes d’attirer son attention, Le jeune homme lui montre des panneaux ou sont fixer des plantes et des coquillages, ainsi que toute une faune sous marines. Ces panneaux sont réguliers et plat comme si il était là dans un but précis…. Mais notre homme est plus intéressé par un panneau plus petit sans organisme fixé dessus. C’est une fenêtre sans teint, comme si on pouvait de l’intérieur regarder dehors, peut être la fenêtre de contrôle d’un sas ?  Mortimer scrute la paroi à la recherche d’un bouton ou d’une manette, et soudain il aperçoit un petit volant. Il manœuvre nerveusement, dans le sens d’ouverture, et soudain une porte s’ouvre intérieurement dans la paroi. Il rentre dans une petite pièce, suivit du Médecin. Il referme rapidement la porte. Il y a une autre fenêtre, ainsi qu’un pupitre avec un tableau de commande. Le Caporal comprend qu’il peut se servir du sas comme d’une chambre de décompression et programme la pression comme si il était à neuf mètres pendant six minutes, puis après cinq minutes à trois mètres. Quinze minutes avant que la pièce se vide et qu’ils puissent sortir du sans  accident barométrique. En attendant il recherche sa radio, et s’aperçoit que le file à été coupé. Heureusement dans un quart d’heure l’alerte sera donné.
 
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La peluche est juste en dessous du creux. De la il coince les deux mono-œil. Il connait cet endroit et il n’y a pas d’autre sortie. Il reçoit sur son visage un petit rectangle noir. La petite bête a besoin d’aire et remonte a la surface. Sans le faire exprès il actionne la radio de Mortimer.
 
"  - Ici, la tours, vous êtes sortie de l’eau et tous ce passe bien ? "
 
La créature jaune éructe surpris, un bruit pouvant être confondu avec un " - Sscrouitchhhh. "
 
Le contrôle pensant que ce diable de Dunaïm parle toujours d’une façon incompressible répond:
 " - Bien! les plongeurs vous être sortis, bonne journée, je ferme la liaison. "
 

La bête de dépits, ne comprend rien à cet étrange appareil, le projette sur un quai et replonge à la recherche de son repas !

Jeremy avançait dans le laboratoire et observait les lieux au fur et à mesure que les lumières s'allumaient en espérant voir une porte. Il devait forcément y en avoir une. Les Lantiens devaient bien accéder aux lieux d'une manière ou d'une autre. Ils devaient juste trouver comment.

« Oui, ça ressemble effectivement à un laboratoire dédié à l'étude des fonds marins. Mais sa fonction ne va pas vraiment nous aider à trouver une sortie. On pourra s'intéresser plus en détail à l'endroit une fois que nous saurons comment y aller et venir à notre guise. » répondit-il à Mortimer.

Il s'approcha des consoles qui restèrent inertes. Si seulement l'un d'entre eux possédait le gêne des anciens, ils auraient pu les activer et en apprendre plus et certainement trouver un plan avec la solution à leur problème. Ou si seulement il avait fini ses recherches et trouver un moyen d'activer le gêne des Anciens chez ceux qui ne le portaient pas naturellement. Mais avec tout le travail qu'il avait, cela restait pour l'instant un vœu pieux.

« Je ne vois rien qui ressemble à une porte ou quoi que ce soit du genre. C'est étrange tout de même. Ils devaient bien venir jusqu'ici, non ? Comment s'y prenaient-ils ? Des idées ? » demanda-t-il.

Il reprit son chemin en laissant une main traînée sur le mur, dans l'espoir de repérer une aspérité ou tout autre élément anormal.

Mortimer rentre une salle ronde, suivit de Jeremy qui pourrais ressembler à un planétarium… Une rangé de fauteuil autour de la pièce, au centre une étrange machine projette une vision holographique de l'extérieur. On reconnait les superstructures de la cité d’Atlantis.
"  - Par le porte-jarretelles de notre Majesté Gracieuse, un marétarium ! " annonce l’écossais au jeune homme. L’image ce déplace, peut à peut que l'on pourrait voir tranquillement installé commanté par Jacques Yves Cousteau, le monde du silence. Il doit y avoir une télécommande quelque part, mais pour le moment cela semble fonctionner d’une manière autonome.


Soudain on voit apparaître le visage en colère de la peluche. Les images holographiques sont donc actuelles, et alors que la camera se déplace doucement, ont voit une bagarre dans un coin de la représentation, car Mimile vient de rentrer dans la danse.  La projection se centre en zoomant sur une sorte d’algue ondullante sur lequel progresse, un minuscule organisme multicolore et visible, drapé de jolies bronchies, voulant dire au monde, je suis joli mais je suis toxique !.       
Les deux hommes voudraient bien savoir ce qui se passe avec le Faux Congre. Mais l’image semble se vocaliser sur la petite bestiole, sans intereet pour eux pour le moment.          
 
"  - On ne va pas rester collé en haut quand Mimille est en danger, par Jupiter, on va y **mettre notre aviron, on ne va pas *** tailler des crayons, il faut faire quelque chose pour l’aider, et toutes ces sortent de choses."
 
Mortimer comme un fou sort de la pièce et se met à chercher, une sortie. Il ne semble pas y en avoir.......sauf le sas. Dunaîm est a coté de cette pièce quand il repère une porte, et en l’ouvrant notre homme tombe sur  ce qui pourrait ressembler à  deux scaphandres de plongée...... Lantiens.
 
 
* Ce regarder le nombril
** Mettre son grain de sel
*** Peigner la girafe

Jeremy regardait, fasciné, les images que montraient l'hologramme. Il en profita pour s'asseoir, se disant qu'il pouvait bien profiter de quelques minutes de repos tout en profitant du spectacle. Soudain, la vue changea et montra Mimile en train de se battre, comme d'habitude, avec l'autre créature qui ne cessait de les attaquer lorsqu'ils plongeaient.

Il en avait discuté avec les biologistes et quelques hypothèses en étaient ressorti, comme le fait que la créature les considéraient comme des envahisseurs et défendait son territoire contre cette intrusion ou plus simplement, qu'elle les considérait comme son prochain repas. Et le fait qu'elle n'arrive pas à les manger semblait quelque peu l'agacer. Certains animaux se seraient contenté d'abandonner et de passer leur chemin en passant les humains dans la case « prédateurs », mais pas celui-là. Ou peut-être était-ce un mélange de ces deux hypothèses.

Quoi qu'il en soit, l'image changea à nouveau et se concentra sur une autre petite créature marine, au grand dam de Mortimer. Malgré le langage fleuri de son compagnon, Jeremy comprit que celui-ci voulait aller aider Mimile. Il était parti en trombe à la recherche d'une sortie. Il se leva en secouant la tête et le suivit. Même si Mimile semblait les avoir protégés et faisait montre d'une certaine curiosité à leur égard, il lui semblait plus prudent de rester à l'écart des deux créatures qui s'affrontaient.

« Et vous voulez faire quoi au juste ? Nous n'avons pas d'arme ou quoi que ce soit qui y ressemble. Et les combats ne sont pas vraiment ma tasse de thé, que ce soit sur terre, sur mer et encore moins sous l'eau. Nous devrions plutôt nous concentrer sur comment retourner sur Atlantis au lieu de vouloir nous immiscer dans un combat tout ce qu'il y a de plus normal dans le règne animal... » dit-il lorsqu'il rejoignit le sergent qui venait de dégotter ce qui ressemblait à des scaphandres des Anciens. Jeremy eut soudain un très, très mauvais pressentiment sur ce qu'allait être la suite des événements.

 
Mortimer voit le jeune homme, il ne s’équipe pas. Bon pas grave Mortimer va tenter une sortie. Le scaphandre Lantien semble solide. De plus notre homme trouve une tige en fer qui pourra servir d’arme. Il faut aider le Soldat Mimille. La tenue est lourde et c’est avec difficulté que l’Ecossai entre dans le sas. Il  ferme la porte, et il appui sur le bouton de mise en eau. Le visage de Jeremy se dessine derrière la vitre. Le liquide monte peu a peu. Pourvu que le scaphandre fonctionne. En baissant les yeux, Mortimer aperçoit son ordinateur à son bras. Pour le moment il aperçoit que la pression ne bouge pas. L’eau du sas arrive au niveau du casque. Mais pour le moment aucune fuite n’appariait. Il se place devant la porte de sortie et il se tient à une poignée. La pièce finit de se remplir.
 
Le Sergent respire bien. La porte s’ouvre.  Notre homme se tourne vers la vitre ou Jeremy le regard. Mortimer fait le signe que tout va bien. Il jette un dernier regard sur son ordinateur qui inscrit toujours zéro  mètres. Tenant fermement la barre de fer, notre homme fait un pas en avant. Et la il voit la cité d’Atlantis se rétrécir….. Il coule !    
 
* Par le Porte Jarretelles de son Majestée Gracieuse ! *
 
Très vite la lumière décroit ! Notre homme ne sait que faire. Il n’y a qu’une faible lumière à l’intérieure de son casque. Plein de message en Lantien défile sur la verrière. Mais il ne sait pas ce que cela veut dire. La vitesse semble s’accélérer. Il croisse un êtres des abysses disparaît rapidement. C’est à se moment qu’il remarque sur le bord intérieur de son casque des minuscules capteurs, qu’il peut atteindre avec sa langue. Il en touche une et les lampes extérieure du scaphandre s’allument. Bon c’est déjà cela. Il actionne une autre touche et la il sent la vitesse s’accélère. Notre home appui sur la troisième touche et la miracle, le descende décélère. Il appui une autre fois, la descende s’arrête. En appuyant encore, il constate qu’il remonte. De peur d’aller trop vite notre homme laisse faire et regarde autour de lui.


La remonté se fait bien.  Il voit à la limite de la visibilité une sorte de calamar s'approcher. L'animal possède plein de tentacules et s'approche doucement. Mortimer continue sa monté. L’animal semble se contenter de le voir passer. Sur la parois du casque des images de la rencontre apparaissent. Il doit y avoir aussi une camera. La monter semble accélérer......  

Jeremy attendait les secours, mais Mimile avait apparemment compris que quelque chose clochait. Il s'était approché de Mortimer qui ne réagissait pas. Il se mit à le pousser doucement vers le quai dans sa direction. Il se demanda alors comment il allait bien pouvoir tirer le caporal hors de l'eau. Un humain pesait déjà un certain poids, mais avec le scaphandre des Anciens, cela allait être une toute autre paire de manches. Déjà, rien que pour attraper et trouver des prises afin de le tirer, sans oublier le poids de la tenue elle-même. Il était en train de conclure qu'il n'y arriverait pas tout seul, lorsque des membres de la sécurité arrivèrent dans le local.

« Ah vous tombez bien ! J'ai besoin d'un coup de main pour le sortir de l'eau ! Et dites à l'un des experts en technologie des Anciens de nous rejoindre ! On risque d'en avoir besoin pour le sortir de ce scaphandre ! » leur lança-t-il. Il constata que Mimile avait disparu entretemps, probablement à cause de l'arrivée des soldats. Il remercia silencieusement la créature avant d'aider les autres à sortir Mortimer de l'eau.

Une fois celui-ci hissé sur le quai, il se demanda quoi faire. Il n'y avait pas de bouton ou de commandes visibles pour offrir l'attirail qu'il portait et il n'était pas sûr que le caporal l'entende non plus, mais cela valait quand même le coup d'essayer. Et puis c'était toujours mieux que de rester là à ne rien faire. Il se mit à toucher la combinaison dans l'espoir d'activer un mécanisme d'ouverture quelconque.

« Caporal, vous m'entendez ? » demanda-t-il en bon secouriste. « Si c'est le cas, serrez-moi la main ou faites un signe quelconque. » ajouta-t-il en prenant la main de Mortimer dans la sienne. C'est alors qu'une équipe médicale débarqua, accompagné du scientifique demandé.

 
Mortimer est toujours assommé, et emprisonné dans le scaphandre des Anciens et sa situation n'est pas désespéré. L'habit continue de fonctionner normalement, le système d'épuration du gaz carbonique marche parfaitement, et humidifie bien l'aire, donc de ce point de vu là, L’Écossais pourrait rester encore quelques temps dans ce piège, avant que ça situation dégénère.

En attendant le subconscient du Sergent, n'est pas en poste restante. Il repense à l’étrange plongé qu'il a effectuer. Le cerveau analyse les paramètres de la plongée. Il connait le temps qu'il est resté sous l'eau et il sait grosso modo la vitesse de descente, en ayant vu défilé les petites bulles d'aire. Sur le tableau noire de son cerveau la courbe qu'il trace montre qu'il aurait atteint la profondeur de six cent mètres, il ne battrait donc pas le record  de Daniel Jackson, (Cela ne s'invente pas!) scaphandrier de la marine Américaine, équipé d'un nouveau modèle de scaphandre rigide, suspendu au bout d'un boute à six cent neuf  mètres.          

La remonté doit être un modèle de record à ne pas faire, heureusement qu'elle c'est effectué à la pression atmosphérique et qu'il n'a pas besoin d'éliminer l'Azote, de son sang. Notre homme est remonté comme un parachute, il doit y avoir dans cette armure un basalte, qu'il a dut purger, ce qui a permis d'entamer cette remonter impressionnant. Heureusement qu'il ne sait pas fracassé contre la parois d'Atlantis, Dunaïm se souviens d'avoir bousculé une boule jaune, quand il c'est retrouvé à la surface, avant de perdre concience.
 

Toujours dans les pommes, Mortimer sent qu'on le manipule. L'isolation phonique est excellente, tant que personne ne lui parle, par radio, de la tour centrale de la cité. Quand à ouvrir le casque, il suffit de suivre les indications ecrite en Lantien, sur la tenue,un truc comme : Tirez la chevillette et la bobinette cherra!