Atterrissage imprévu

Vers la baie d’appontage

 
Friedrich se recoule mais peut à peut sa vision revient. C’était heureusement comme un flash dans les yeux. Ces rétines, ou les nerfs optiques n’étaient pas concernée. Les bâtonnets avaient été saturés par la lumière, et maintenant sa vison revenait. Oh cela n’est pas encore parfait loin de là. Il est capable de reconnaitre une chèvre d’un hippopotame.
 
"  - Vous pouvez me lâcher Docteur cela va mieux, pas encore parfait mais je peux vous suivre. Plus de peur que de mal. "
 
L'Enseigne se met donc dans l’arrière garde, du groupe. Il ne faut pas gêner l'avant garde. Il n'est pas encore en état. Il cherche si par hasard quelqu’un a conserver sa hache. Mais à première (faible) vu, personne ne l’a gardé. Le Botaniste devra monter au front sans arme. Quoique qu’une arme de point l’empêche de viser correctement,  la hache serait plus approprier. Il est capable maintenant de faire la différence une un Hobbit et un Humain…..Théoriquement
 

Le Traveller suit donc le dos d’un Marins, avant de s’apercevoir que c’est une Marins. Sa vison s’améliore nettement, ainsi que la vue.        


Soudain l'avant du groupe ralentie et s’arrête, mais pas de coup de feux. Ils accroupissent en cherchant une couverture en cas de tire. Une information remonte rapidement sa section, et le Biologiste apprend qu'ils ont prit contacte avec le groupe de MacCage.    

Friedrich suggéra ensuite une idée complètement idiote au vu de sa situation : le laisser sur place. Il approuva les propos de la militaire et renchérit :

« Vous laissez là ? Pas question ! Comme le dit le lieutenant, vous êtes vulnérable et si les lutins reviennent, vous ne pourrez pas vous défendre. Et rien ne dit qu'ils ne vous trouveront pas si vous vous cachez. Nous ne savons pas de quel genre de technologie ils disposent. Alors vous venez avec nous et vous ne discutez pas. »

Il lui prit la main, puis le guida vers le mur le plus proche avant de déplacer la main du botaniste sur son épaule. Il avait en effet besoin de ses deux mains pour tenir son arme si les lutins revenaient à la charge. Le mur à côté lui servirait de guide pour sa deuxième main. Ainsi, il était bien derrière lui et protégé. Le mettre côté couloir aurait été complètement stupide, vu que le pauvre aveugle se serait alors retrouvé complètement exposé, faisant ainsi une cible sans défenses et incapable de réagir.

Mais au détour d'un couloir, il ne s'arrêta pas à temps et le dépassa, sa main s'égarant sur le Lieutenant. S'il y avait une chose que Jeremy ne se supportait pas, c'était bien ce gemre de choses. Il se retourna brusquement et saisit Friedrich par le col pour le faire reculer dans les bras du Marine se trouvant derrière lui.

« Vous allez effectivement passer derrière et c'est le caporal Schwarzy qui vous servira de guide désormais. Il vous protègera bien mieux que moi. C'est son travail après tout. Pour ma part, j'ai besoin d'être libre de mes mouvements en cas de problème. » lui dit-il tandis que l'Autrichien, véritable montagne de muscles spécialisé en corps à corps prenait en charge le botaniste.

Le groupe se remit en marche. Le reste de son équipe finit par apparaître. Il s'arrêta quelques secondes puis les rejoint, lorsque le caporal Miyano les repéra.

Une fois que les autres eurent baisser leurs armes, Jeremy avança prudemment à la rencontre des deux militaires de son groupe. Il avait tout un tas de questions à leur poser.

« Que s'est-il passé ici ? Est-ce que tout le monde va bien ou faut-il faire venir une équipe médicale ? On commençait à s'inquiéter de ne plus avoir de vos nouvelles. » dit-il.

Apparemment, quelques soldats avaient l'air légèrement sonné, mais tout le monde semblait conscient et suffisamment en possession de leurs moyens pour rester à leur poste.

« La Cité vient d'être envahit par des lutins et ils sont armés. Ils attaquent en ce moment même le centre des opérations et nous devons retourner là-bas au plus vite pour prêter main-forte aux soldats qui défendent les lieux et le reprendre. Ont-ils quoi que ce soit en descendant du vaisseau ? Genre pourquoi ils étaient là ? Parce que pour l'instant, impossible de communiquer avec eux. » expliqua-t-il rapidement.

Il observa le vaisseau alien, se demandant s'il était possible de monter à bord. Peut-être pourraient-ils y obtenir des informations sur ce que voulaient leurs visiteurs.

« Vous avez essayé de monter à bord ? Il y aurait peut-être des choses intéressantes à découvrir, comme qui sont ces charmants extraterrestres... » demanda-t-il pensif.

Friedrich se rapproche d'Alynea, d'Alister et de Jeremy. Le Sergent fait son rapport au chef de la sécurité! Il parle d'un vaisseau inconnue d’où serait sortie des Lutins dont un en utilisant un bâton  les as neutralisés. Le Traveller n'ayant toujours pas d'arme met les mains dans ses poches et trouve sa radio. Il remarque que personne n'écoute les communications, il porte sa radio à l'oreille et écoute les communications passante, faiblement , en cherchant un canal avec de l'activité, mais c'est le grand silence frisé qui répond!

Le Sergent McCage propose d'aller en vers la tour de contrôle.  il entend à se moment là, la voix de Mortimer

 
" ...entre, je répète AR-1 appelle le centre. "

Le Traveller a du mal à entendre. il continue. pendant ce temps Aliter propose d'ouvrir le vaisseau avec de C4. De nouveau il entend Mortimer à sa radio, et monte le son pour que les gents autour de lui, entende l’Écossais.
 
"  -Par Jupiter, et toute ces sortent de choses, vous répondez Opérationnel centre, vous taillez un crayon ? "
 
" - Mortimer est avec AR1, on pourrait leur dire de venir ici, en téléporteur. On serait alors plus nombreux et on passerait par armurerie pour prendre des armes incapacitantes, car les Lutins n'ont pas encore fait de blessé qu'en pensez vous?"

Jeremy écouta les différentes réponses des membres de son équipe. Son idée d'explorer le vaisseau ne sembla pas remporter beaucoup de suffrage et récupérer la Cité semblait avoir la priorité. Il écouta également avec intérêt les messages radio qui s'échangèrent entre les différents groupes éparpillés dans la Cité. Il fut soulagé d'apprendre que les deux responsables de la Cité étaient sains et sauf, mais dans une situation relativement précaire et que le réfectoire avait été sécurisé.

Avec les informations d'Archibald, ils allaient probablement revoir leur destination pour le rejoindre dans l'air nord-est, surtout si les autres convergeaient également dans cette direction. Il avait son idée concernant la destination exacte, quand bien même leur chef ne l'avait pas dit explicitement, probablement pour des raisons de sécurité. Mais peut-être que les lutins pouvaient aussi le deviner… Toujours était-il qu'une fois regroupés, ils seraient en mesure d'organiser la reprise de la Cité plus efficacement et de manière plus coordonnées.

En revanche, apprendre que quelque chose, ou quelqu'un, avait traversé la Porte, sans que personne ne sache de quoi il s'agissait au juste l'inquiétait.

« Nous rejoignons également le Dr Delamare, Lieutenant ? Dans tous les cas, je pense que passer par l'armurerie serait une bonne idée pour y récupérer des munitions et des armes un peu plus lourdes, vu que nous ne savons pas ce que nous allons devoir affronter au juste. » suggéra-t-il.

Le Traveller suit son Docteur de Chef et le Lieutenant. Ils finissent par rejoindre le groupe du Sergent et de la Caporal. En content les Marines en plus cela commence à faire un bon groupe. Avec les différents messages radio, et avec les conversation que Friedrich entend autours de lui, il semble que l'on prennent le chemin de rejoindre le Docteur Delamare. Une sorte de prise en tenaille du centre de la citée avec AR-1.

 
Il  a entendu plusieurs options. Faire sauter le vaisseau alien, quel hérésie. Les nabots n'ont pas provoquer de mort , ni de blessé jusque là. Personne n'a essayer d'ouvrir la porte, il suffit peut être d'ouvrir la chevillette et la bobinette cherra..... De plus Il aurait fallut regarder le nombre, de portes, de trappes, d’aces, de sas, que comportent le navire. Peut être un petit groupe de Marines suffit pour empêcher les ETs de sortir pour les prendre à revers. Imaginez en plus que faire sauter l’engin, cela sert de détonateur à une bombe puissante qui fasse sauter la citée! L'Enseigne aurait bien proposer ses services pour essayer d'entrer dans la soucoupe, mais personne ne l'écoute actuellement, il est juste bon à se prendre une buche de Noël sur la figure. De plus il n'est toujours pas armé. Et la proposition de passer par l'armurerie de McCage lui semble une bonne idée.....

" - Mesdames Messieurs, passez par l’Armurerie me semble une bonne idée, on pourrait s'équiper avec des armes non létal, comme des Blaster Wraiths car après tout les petits hommes vert; non pas encore franchit la ligne verte. Ils ont peut être une bonnes raison d’être ici. Il ne faut pas faire de Casus Belli, si les choses peuvent s'arranger."             

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#1 'Résolution (11-30)' :


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#2 'Résolution (31-60)' :


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#3 'Résolution (0-10)' :


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#4 'Résolution (31-60)' :


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#5 'Résolution (31-60)' :

La décision de passer par l'armurerie est prise. Le groupe avance prudemment en permutant les positions. De façons à ce que ce ne soit pas toujours les mêmes qui mènent la troupe! Ils arrivent devant la pièce sans encombre. Le local est fermé et il n'y a personne à l'intérieur. Le chef de la Sécurité a heureusement un passe pour ouvrir cet endroit. Une fois ce lieu sécurisé, ils entrent pour compléter leurs équipements.

 
Friedrich trouve le râtelier des Blasters Wraith et il en choisit un,  possédant une charge énergétique complète. Il prend aussi une grenade fumigène, une grenade aveuglante, et il ne se prive pas de s'accaparer d'un Berreta avec trois chargeurs pleins, ces objets sont déposé dans une gibecière. Il quitte la pièce avec le Blaster entre ses mains, prêts à tirer avec!

 
Bientôt tout le monde est équipé d'arme.


Le groupe se dirige vers l'aile Nord-Est. Ils avancent courbé avec précaution, se protégeant les uns les autres, en alternant de temps en temps leurs positions. Ils vérifient que les croisements soient vide avant de les franchirent rapidement. Tout ce passe bien. Il n'y a pas de de liaison radio pour le moment!

 
Le Travelleur se trouve en quatrième position, quand soudain devant eux apparaissent les lutins. La réactions des envahisseurs est immédiate. Ils tirent de magnifiques cônes décorés de lumière clignotante. L'Ensigne tire avec son arme, mais il ne sait pas si il touche car il voit l'un des projectile foncer sur lui en clignotant de plus en plus vite.



Heureusement l'arme ne le percute pas. Malheureusement la déflagration l'atteint de plein fouet .


Il est touché par une onde de choc brulante, qui enveloppe son corps. Il s’écroule par terre en souffrant du thorax.                   

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'Résolution (31-60)' :

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'Résolution (81-99)' :

Le groupe se mit en route vers l'armurerie pour s'équiper de manière un peu plus appropriée. Jeremy en profita pour récupérer des trousses de secours bien fournies, des chargeurs de réserves et un beretta.

Les choses se gâtèrent lorsqu'ils prirent le chemin de l'aile nord-est pour rejoindre Delamare et Beckett. Ils tombèrent sur un groupe de lutins, visiblement décidés à ne pas faire de quartier. Cela confirmait qu'ils étaient vraiment hostiles à l'égard de la Cité et de ses occupants actuels. Il se trouvait au milieu du groupe, mais il ne fut pas aussi rapide à réagir que les Marines, autrement plus adeptes rompus que lui à ce genre d'excercice. Il se mit à courir derrière eux pour rejoindre un abri, mais eut le mauvais réflexe de se retourner, ce qui lui fit perdre une précieuse seconde… Il vit l'explosion et sentit le souffle le projecter au sol, accompagné d'une sensation de chaleur.

Quelques secondes plus tard, il s'assit avec précaution, légèrement sonnée, et constata qu'il souffrait de brûlure au deuxième degré, superficiels, au niveau du bras et de la jambe droite. Il grimaça sous l'effet de la douleur, mais constata qu'il n'était pas le plus à plaindre. McCage se trouvait non loin de lui, étendu contre le mur. Il s'approcha et vérifia son pouls. Il était vivant et souffrait de plusieurs brûlures deuxième degré superficiel et profond et d'une épaule déboîtée, au vu de l'angle formé par celle-ci. Il ne pouvait pas grand-chose à part immobiliser le bras et tenter de diminuer la douleur en administrant un antidouleur. Puis il vit Friedrich.

*Et mince...*

Il laissa le sergent pour se précipiter vers le botaniste qui avait plus besoin de lui. Il respirait toujours. Il présentait lui aussi de très nombreuses brûlures au deuxième degré profond, voir au troisième degré, mais surtout une plaie au niveau du thorax qui saignait. Il enfila une paire de gants et dû serrer les dents lorsque l'un d'eux entra en contact avec une de ses brûlures. Il sortit des compresses et les appliqua sur la plaie pour tenter de juguler l'hémorragie et faire un pansement.

[Résolution : Premiers secours 11- 30 x 1]

« Il faut les évacuer à l'infirmerie tout de suite ! » lança-t-il, car aucun des deux blessés ne pouvaient aller nulle part dans leur état et parce qu'il n'avait pas ce qu'il lui fallait sous la main pour s'occuper d'eux.

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'Résolution (11-30)' :